Les New-Yorkais, Eliezer
Les New-Yorkais, ou la chronique d’un drame annoncé aux uns. Caché aux autres. La chronique en chassé-croisé d’un couple qui se bat l’un à côté de l’autre.
Pas ensemble. Pour protéger l’autre.
Une histoire tout en finesse. Délicate. Pudique.
Le temps d’un été, d’un automne.
Gabriel et Norah sont deux trentenaires « lancés ». Lui est chef restaurateur, elle est trompettiste classique de renommée internationale.
Ils filent le parfait amour à Paris, avec leurs deux jeunes enfants. Gabriel décide néanmoins, en quelques semaines, d’expatrier sa petite
famille à New York. Ouvrir un nouveau restaurant sur place. Se rapprocher de son oncle et sa tante qui l’ont élevé.
Et c’est peut-être ce rapprochement familial qui devrait alerter Norah sur les motivations profondes de son mari.
Pas ensemble. Pour protéger l’autre.
Une histoire tout en finesse. Délicate. Pudique.
Le temps d’un été, d’un automne.
Gabriel et Norah sont deux trentenaires « lancés ». Lui est chef restaurateur, elle est trompettiste classique de renommée internationale.
Ils filent le parfait amour à Paris, avec leurs deux jeunes enfants. Gabriel décide néanmoins, en quelques semaines, d’expatrier sa petite
famille à New York. Ouvrir un nouveau restaurant sur place. Se rapprocher de son oncle et sa tante qui l’ont élevé.
Et c’est peut-être ce rapprochement familial qui devrait alerter Norah sur les motivations profondes de son mari.
Norah qui se focalise sur Alicia, l’assistante de Gabriel, « embarquée » elle aussi outre-Atlantique.
Les New-Yorkais est un livre qui se savoure comme les mets préparés par Gabriel, mais que l’on dévore aussi. Des pensées des uns à celles des autres, le désir d’en savoir plus incite à toujours tourner une page supplémentaire. Car l’auteur Eliezer, outre nous entraîner vers le secret de Gabriel (est-ce ce à quoi je pense ? Non. Ah si, oui, peut-être), fait monter le suspense sur des visites à l’appartement de l’oncle Charles.