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Avril – La culpabilité

Tous les mois, retrouvez le dicton du mois développé par Florence Blanchard, coach de Chemin de vie et praticienne Reiki. Florence dispense son savoir et sa belle énergie  en région parisienne (et par Skype).
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« La culpabilité d’un seul n’exclut pas la responsabilité de tout le monde » – Michel Audiard

Trop de fois j’entends autour de moi : ” je suis nul, je n’ai pas été à la hauteur, je ne sers à rien,…. c’est ma très grande faute ! “.  Et ô combien de fois, par le passé, ai-je aussi pratiqué cette auto-flagellation ! Quand ce ne sont pas les autres qui vous la font porter !!

Et pourtant après réflexions, nous devons bien admettre qu’elle est irrationnelle et inutile cette culpabilité ! Elle commence par envahir notre mental puis notre corps et c’est une charge, un vrai fardeau qui nous tombe dessus à chaque fois ! Ne ressentez-vous pas qu’elle freine, qu’elle enlise et qu’elle ramène au niveau le plus bas, notre énergie, notre confiance et notre enthousiasme ? Normal ! puisqu’elle engendre la peur.

C’est d’ailleurs pour cette raison que certaines personnes s’arrangent pour que vous vous sentiez coupables et  – dans cet état de doute et de dévalorisation de vous même –  obtenir de vous ce qu’elles veulent.

Si je récapitule, la culpabilité est un outil de manipulation, de destruction, de baisse d’estime de soi, d’emprisonnement à soi et aux autres; Elle est donc à l’opposée de la confiance, de l’estime de soi, de la liberté et de tout élan créatif !

Pour autant, redevenons un peu réaliste: bien sûr qu’on est tous coupable de quelque choses à un moment donné de notre vie; Partant du principe que nous avons une part de responsabilité dans nos actes, dans nos choix, dans nos relations, dans nos échecs comme dans nos réussites, comment pourrait – il en être autrement ?

Mais si prendre sa part de responsabilités dans les évènements positifs et négatifs de notre vie est essentiel pour notre évolution personnelle et dans notre devenir d’adulte, vivre sous le couperet de la culpabilité n’a aucune incidence bénéfique. Le premier fait appel à notre adulte intérieur neutre et autonome; alors que le deuxième touche à notre enfant intérieur, celui qui s’est fait gronder et punir.

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